
Luc Bertrand
Les travaux de Luc Bertrand portent sur les modifications post-traductionnelles impliquées dans la régulation du métabolisme et de la fonction cardiaque. Il étudie plus particulièrement le rôle de la protéine AMPK.
Les travaux de Luc Bertrand portent sur les modifications post-traductionnelles impliquées dans la régulation du métabolisme et de la fonction cardiaque. Il étudie plus particulièrement le rôle de la protéine AMPK.
Les travaux de Sophie Lucas portent sur les mécanismes par lesquels les lymphocytes T régulateurs (Treg) inhibent le système immunitaire pour l’empêcher de détruire des tissus sains.
Les travaux d’Agnès Noël sont orientés sur la vascularisation des tumeurs, notamment le processus de formation des nouveaux vaisseaux lymphatiques (la lymphangiogenèse), un processus biologique qui contribue à la progression du cancer.
David Alsteens étudie à l’échelle moléculaire les forces en jeu dans les structures protéiques, dans l’adhésion cellulaire, dans la liaison du ligand au récepteur ou dans la liaison du virus à la cellule qu’il infecte.
Guido Bommer étudie des enzymes de fonction encore inconnue et cherche à comprendre quel rôle elles pourraient jouer dans le métabolisme du cancer. Les résultats parfois inattendus l’amènent à se pencher également sur d’autres maladies.
Amandine Everard s’intéresse à l’implication des bactéries du microbiote intestinal dans la régulation de la prise alimentaire et plus spécifiquement à l’axe intestin-cerveau.
Esteban Gurzov cherche à comprendre les mécanismes moléculaires de maladies métaboliques. Il étudie en particulier le rôle des phosphatases dans les maladies métaboliques et dans leurs complications (telles que le cancer).
Régis Hallez étudie la régulation du stress bactérien par le (p)ppGpp. Cette « alarmone » produite par la quasi-totalité des bactéries en réponse aux fluctuations de disponibilité en nutriments, remodèle profondément la physiologie bactérienne.
Cédric Blanpain étudie le rôle des cellules souches dans le développement, l’homéostasie et le cancer. Il recherche les cellules souches impliquées dans des processus de développement et de réparation tissulaire, ainsi que dans les cancers humains.
Alain Chariot étudie dans des modèles de cancer le rôle de gènes mal caractérisés dont la perte de fonction est associée à des troubles génétiques. Son projet est axé sur la reprogrammation protéique dans les réponses immunitaires et dans le cancer.
Les travaux de Jean-François Collet visent à comprendre comment les bactéries se défendent contre les agressions extérieures, afin de mieux pouvoir les attaquer. Il étudie plus spécifiquement le stress oxydant et le stress de l’enveloppe.
Les travaux de Decio L. Eizirik visent à comprendre la pathogenèse du diabète de type 1, plus spécifiquement le rôle de gènes du diabète, du stress du reticulum endoplasmique et de l’épissage alternatif dans la déficience des cellules β du pancréas.
Les recherches de Benoît Van den Eynde sont centrées sur l’immunologie tumorale, en particulier sur les mécanismes de production des antigènes tumoraux et sur les mécanismes par lesquels les tumeurs résistent à l’attaque immunitaire.
Les travaux de Miikka Vikkula visent à identifier et caractériser des variations génétiques qui entraînent certaines maladies humaines.
Les travaux de Jean-Luc Balligand portent sur les mécanismes du remodelage cardiaque, un ensemble de modifications du muscle cardiaque soumis à un stress. Ce remodelage, caractérisé par une hypertrophie du cœur, conduit à une insuffisance cardiaque.
Les travaux de Pierre Coulie portent sur l’immunologie des tumeurs. Son expertise par rapport aux lymphocytes T cytolytiques CD8 et aux antigènes qu’ils reconnaissent, est mise à profit ici pour étudier des maladies auto-immunes sévères.
Les travaux de Stefan Constantinescu sont consacrés aux néoplasmes myéloprolifératifs (NMP), un groupe de pathologies des cellules souches hématopoïétiques qui conduisent à une production excessive de cellules sanguines.
Les travaux de François Fuks sont consacrés à l’épigénétique et à son rôle dans le cancer. Les altérations épigénétiques sont traditionnellement des modifications de l’ADN et des histones. L’épigénétique de l’ARN est un nouveau domaine de recherche.
Les travaux d’Anna Maria Marini sont consacrés au transport de l’ion ammonium (NH₄⁺) et au rôle de ce transport dans différents contextes physiologiques et pathologiques.
Pierre van der Bruggen cherche à comprendre pourquoi les lymphocytes T cytotoxiques n’arrivent pas à tuer les cellules tumorales.
Benjamin Beck cherche à caractériser différents groupes de cancers oesophagiens afin d'identifier les gènes indispensables à la croissance et à la progression tumorale ainsi qu'à la résistance aux thérapies ciblées.
Pierre Close étudie la modification des ARN de transfert et la reprogrammation de la traduction protéique menant à des protéomes spécifiques requis pour la survie des cellules cancéreuses, la formation de métastases et la résistance aux thérapies.
Abel Garcia-Pino étudie les bases moléculaires de la survie des bactéries et en particulier le phénomène de persistance bactérienne qui permet à certaines cellules de résister au stress.
Thomas Marichal cherche à comprendre comment un dysfonctionnement des cellules épithéliales contribue à des maladies inflammatoires telles que les inflammations chroniques de l’intestin ou l’asthme.
Benoit Vanhollebeke étudie la signalisation neurovasculaire à la base de la barrière hémato-encéphalique, l’interface finement régulée entre le cerveau et le système vasculaire qui isole la communication synaptique du sang.
Fabrice Bureau étudie les mécanismes (« anti ») qui bloquent naturellement le développement dans les muqueuses respiratoires de réponses immunitaires aberrantes contre les antigènes inhalés.
Patrice Cani étudie les interactions entre le microbiote intestinal, l’hôte et des systèmes biologiques tels que le système endocannabinoide et l’immunité innée dans l’obésité, le diabète de type 2 et l’inflammation métabolique.
Marc Parmentier s’est longtemps concentré sur la caractérisation de récepteurs orphelins couplés aux protéines G. Il se focalise dorénavant sur la caractérisation fonctionnelle de systèmes ligand / récepteur spécifiques.